lundi 31 mars 2014

GIEC: dernières nouvelles.

Vaut mieux être riche et en santé que pauvre et malade, disait l'humoriste.

Dans son dernier rapport, le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), il est, à plusieurs reprises, souligné que les impacts déjà constatés du réchauffement climatique seront les plus forts sur les populations pauvres des pays de l'hémisphère sud. Aggravation des pénuries d'eau, inondations de plus en plus importantes, insécurité alimentaire et famines, migrations importantes des populations avec risques de conflits violents à la clé.

On l'a dit et répété à satiété: la richesse et le confort des pays de Nord se sont construits sur la misère et la pauvreté des pays du Sud. Une pauvreté qui ne pourra que s'aggraver avec l'intensification du changement climatique comme le déclarent, unanimement, les scientifiques du GIEC.

 Si Dieu existe, comment peut-il accepter un tel état des lieux?


Élisabeth Proulx, Métabetchouan-Lac-à-la-Croix.

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