Un des arguments des conservateurs pour abolir le questionnaire long du recensement de Statistiques Canada était que le gouvernement n’avait pas à s’immiscer dans les chambres à coucher des Canadiens.
Pourtant, le gouvernement Harper ne voit aucune gêne à se voter une loi créant une cyberpolice qui pourra, sans mandat aucun, venir fouiner dans nos vies privées par le biais de l’internet.
Si le ridicule comme le culte de la royauté ne tue pas, l’incohérence est un péché mignon comparé à tous les autres défauts qui caractérise Harper et ses larbins.
Marcel Lapointe,Jonquière.
Il nous reste plus qu'une chose à faire et c'est de se débarraser de ce danger public arriéré aux prochaines élections.
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